📊 À l’horizon 2026, les entreprises devront se plier à une réglementation imposant une transparence accrue des salaires. Ce changement est attendu avec enthousiasme par les salariés, dont 67 % le voient comme un moteur de motivation et une reconnaissance plus juste des performances, d’après une étude Strada et OpinionWay. Pour les moins de 35 ans, cet engagement est encore plus significatif, puisque 75 % d’entre eux estiment qu’il permettra une évaluation basée sur le mérite.
💼 Mais cette mesure dépasse la simple satisfaction des employés : elle vise également à lutter contre les inégalités salariales. Une étude PageGroup révèle que 70 % des salariés sont désormais prêts à se renseigner sur les salaires de leurs collègues, et 60 % pensent que cela aidera à réduire l’écart salarial entre les hommes et les femmes.
❓ Toutefois, des interrogations demeurent du côté des managers, avec 67 % qui craignent que la transparence salariale limite les marges de négociation. Pour les entreprises, le défi est de taille : seules 47 % d’entre elles informent déjà leurs équipes des nouvelles obligations légales.
🔍 POURQUOI CE SUJET EST-IL SI STRATÉGIQUE ?
💸 Les conséquences de l’opacité salariale pourraient être lourdes : 67 % des employés affirment qu’ils n’hésiteront pas à consulter les grilles salariales d’autres entreprises si leur employeur manque de transparence. Cette question de la transparence devient donc cruciale pour attirer et fidéliser les talents, en particulier chez les jeunes actifs. En cas d’insatisfaction, 76 % des jeunes salariés envisageraient de quitter leur poste, contre 48% des seniors.
🚀 En conclusion, la transparence salariale représente pour les entreprises un levier essentiel de confiance et de cohésion. Les employeurs ont tout intérêt à se préparer dès maintenant pour transformer cette réglementation en avantage compétitif et renforcer l’engagement de leurs collaborateurs.